au bout de trois jours à marcher sur les sentiers côtiers, du matin au soir, je me suis aperçue que je ne pensais plus…. je faisais simplement partie intégrante de cette nature.
J’ai eu beaucoup de mal à partir à la fin du séjour.
Il est difficile de s’extirper d’un lieu où l’on s’y sent à sa place.