Le blog
LES TUILERIES
EN CONTINUANT À’
allez au cours... Caravaggio... un portrait qu'un de ses contemporain avait fait de lui... j'ai toujours trouvé ce protrait magnifique. Comment résister pour ne pas le copier bien humblement pour l'étudier pour mieux le comprendre. Le bonheur est toujours là, au plus...
UN COURS….
de temps en temps est salutaire, du moins pour moi. Velasquez.... excusez du peu..... mais autant choisir le meilleurs professeurs tant qu'à faire. La copie est toujours une leçon bénéfique à tout point de vue et l'exercice est toujours une épreuve de force. La...
UN PEU DE SPORT…
un jour de jeux.... allez je lève le doute, c'est pas une vraie !! non c'est pas une vraie, c'est une souris joujou, juste pour se croire un Tigre au Bengal...
UN PEU DE MÉDITATION….
Le dimanche après midi... il y a ceux qui dessinent et ceux qui méditent. Le moment présent a été sans doute bien vécu par les deux catégories. ... un bonheur simple s'en dégage et c'est bien là la preuve que rien ne vaut le présent ! Une éternité qui peut être vécue...
UN AVANT GOUT D’AUVERGNE…
pour préparer des petites vacances, rien de tel que de se mettre en acquarelle un peu avant... L'Auvergne, c'est une bouffée d'air pur et l'art roman si beau qui a fleuri là-bas, est une récompense pleine d'armonie qui me met aux ... anges.....
Sablon… encore…
quand le sommeil se fait plaisir à part entière .... et dire qu'il y a des êtres qui pensent perdre leur temps dans cette activité vitale et régénératrice.... si ils observaient le sommeil des chats, ils sauraient à quel point cette activité procure à tout point de...
Sablon
quand le regard se fait parole. quand le regard se fait émotion.... banalité me direz-vous.... mais moi, cela m'étonnera toujours, et me touche comme rien au monde.....
quelques nuages qui passent là-bas… là-bas…
"j'aime les nuages... les nuages qui passent.. là-bas... là-bas... les merveilleux nuages ! (Impossible d'oublier Baudelaire ... je le découvre à mon adolescence... pour ne jamais plus m'en défaire).
ÎLE DE BATZ….
On est en Octobre... et il fait chaud sur Paris.... tout à coup le pinceau dérive en souvenir d'île... le phare en éveil, et le bonheur senti et devenu part intégrante du présent qui se perpétue à l'infini....